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  • Une grève peut prendre différentes formes. En général, il s’agit d’un refus de travailler de manière normale qui vise à ralentir, perturber ou arrêter les opérations. Une grève est organisée par un syndicat en guise de protestation, généralement dans le but de forcer l’employeur à accéder à ses demandes.
  • Malheureusement, dans les collèges, lorsqu’un membre du corps professoral choisit d’exercer une pression en ralentissant, en perturbant ou en arrêtant le travail, ces actions ont un impact plus ou moins important sur les étudiantes et les étudiants.
  • Lors d’une grève totale, les employées et employés cessent de travailler et choisissent de tenir un piquet de grève
  • Les professeures et professeurs qui font du piquetage n’enseignent pas pendant une grève totale.
  • Les collèges informeront les étudiantes et étudiants de l’état des cours.
  • Pour plus d’informations, visitez le site Web du collège.
  • Elle pourrait durer une journée ou beaucoup plus longtemps.
  • Pour le moment, le syndicat est engagé dans une mesure de grève depuis le 18 décembre 2021.
  • En 2017, le syndicat avait fait grève pendant plus de 5 semaines. Les étudiantes et étudiants avaient quand même pu terminer leur semestre.
  • Il se peut que le semestre d’hiver 2022 soit interrompu ou prolongé.
  • S’il y a un impact sur le semestre, les collèges feront tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer que toutes les étudiantes et tous les étudiants puissent terminer leur semestre.
  • Les collèges n’aggravent pas la situation. C’est le syndicat qui aggrave les choses en décidant de faire grève.
  • Le syndicat a demandé aux collèges d’envisager un arbitrage de différends exécutoire volontaire sur les questions en suspens. Mais les collèges déclarent depuis aout 2021 qu’ils ne pourront jamais accepter ce que le syndicat exige. Les collèges ne veulent rien de la part du syndicat et, dans les circonstances, ne peuvent accepter un arbitrage de différends exécutoire volontaire sur ces questions en suspens.
  • Le CEC n’est pas prêt à accepter qu’une ou un arbitre « tranche » sur des questions clés que les collèges ont déjà déclaré être inacceptables. Il n’y a absolument rien à trancher.
  • Les collèges n’ont pas refusé l’arbitrage, mais ont proposé une alternative en matière d’arbitrage dans le but de mettre fin à l’impasse. Les collèges ont demandé au syndicat de reconsidérer une proposition alternative de solution arbitrale afin de s’assurer qu’il n’y aura aucun préjudice ni aucun bris de services pour les étudiantes et les étudiants.
  • Le gouvernement n’intervient pas dans ce genre de négociations à moins que cela soit absolument nécessaire.
  • En 2017, le gouvernement avait forcé le retour au travail des professeures et professeurs après 5 semaines de grève. Le syndicat est actuellement en train de contester cette décision.
  • Le CEC a abandonné toutes ses propositions en vue d’un règlement et a déjà accepté de nombreuses demandes du syndicat.
  • Les collèges ne demandent rien dans la nouvelle convention collective et n’accepteront pas :
    • un arbitrage de différends exécutoire comme processus décisionnel par défaut pour les groupes de travail ou les initiatives clés dans la convention collective
    • les modifications de la charge de travail allant à l’encontre de la loi (projet de loi 124)
    • de revendications en matière de propriété intellectuelle pour le travail que les employées et employés sont déjà payées pour créer
    • de restrictions qui empiètent sur d’autres groupes d’employées et employés
  • Le site Web du CEC contient des informations sur le processus de négociation et une archive permanente des propositions des deux parties.
  • De plus, toutes les mises à jour sont publiées sur les réseaux sociaux du CEC et sur son site Web.
  • Visitez le site Web du CEC CollegeEmployerCouncil.ca ou suivez le CEC sur Twitter, Facebook, LinkedIn, ou YouTube.