Grève évitée : Les collèges et le SEFPO s’entendent sur un arbitrage de différends inconditionnel

Grève évitée : Les collèges et le SEFPO s’entendent sur un arbitrage de différends inconditionnel

Toronto – 18 mars 2022 – Aujourd’hui, le Conseil des employeurs des collèges et l’équipe de négociation du SEFPO, qui représente les professeures et professeurs, les instructrices et instructeurs, les bibliothécaires et les conseillères et conseillers à temps plein et à charge partielle, se sont retrouvés à la table de négociation virtuelle avec un médiateur nommé par le ministère du Travail.

Jeudi soir, les parties ont publié la déclaration commune suivante :

Le CEC et le SEFPO ont conclu une entente dans le but d’entamer un arbitrage de différends, et la grève qui devait commencer à minuit et une minute le 18 mars 2022 a été annulée, incluant également toutes les activités de grève de type « grève du zèle ».

« Nous sommes heureux de pouvoir vous annoncer qu’après 12 heures à la table de négociation, les parties ont convenu d’un arbitrage de différends inconditionnel sur toutes les questions en suspens. Des dates d’audience convenant aux deux parties seront fixées prochainement », a déclaré la Dre Laurie Rancourt, présidente de l’équipe de négociation de la direction. « Nous restons déterminés à faire passer les étudiantes et étudiants et leurs études en premier.

Il n’y aura donc pas de grève dans aucun des 24 collèges publics de l’Ontario. Les parties ont conclu un accord d’arbitrage de différends et la grève qui devait commencer à minuit et une minute le 18 mars 2022 a été annulée. Les activités se poursuivront donc normalement dans tous les collèges de la province.

« Afin d’éviter toute perturbation pour les étudiantes et étudiants, nous étions prêts à procéder, immédiatement et sans condition, à un arbitrage de différends devant William Kaplan sur toutes les questions en suspens », a déclaré Graham Lloyd, président du CEC. « Après tout ce que les étudiantes et étudiants, le corps professoral et la communauté collégiale ont vécu ces deux dernières années, nous estimions qu’il était essentiel de mettre nos différends de côté et de conclure ces négociations sans grève. »